Le 7 octobre dernier, les femmes israéliennes ont été victimes de barbaries organisées, délibérées et systématiques.
Torturées, violées, mutilées, assassinées : ces atrocités ont marqué une escalade insupportable de la violence.
Il aura fallu des mois pour que ces violences sexuelles soient enfin reconnues comme une arme de guerre. Une reconnaissance trop tardive, qui soulève une question essentielle : où était la mobilisation mondiale face à ces horreurs ?
Le silence international est inacceptable.
La disparition et le sort de ces femmes dans l’indifférence générale constituent une forme de complicité silencieuse.
Nous avons un devoir moral de dénoncer ces actes et de briser ce silence.
Il est temps d’agir.
Ensemble, nous pouvons refuser l’inaction et changer la donne.
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