📣 Une avancée historique pour les droits des femmes : l'avortement inscrit dans la Constitution française
La France a récemment marqué l’histoire en rendant le droit à l’avortement inaliénable, en l'inscrivant dans sa Constitution. Cette avancée majeure pour les droits des femmes s’accompagne aujourd’hui d’un débat central : la notion de consentement.
📣 Vers une nouvelle définition du consentement dans la législation française
Le 8 mars, en parallèle de cette victoire, le président de la République a annoncé son intention d’inscrire la notion de consentement dans le droit français.
✅ Depuis 1980, le code pénal définit le viol en termes de menace, contrainte, violence ou surprise.
✅ Cependant, cette définition ignore des réalités importantes, telles que :
Les états de sidération psychique et de dissociation traumatique, limitant ainsi la reconnaissance de certaines situations de violence.
Les cas où les victimes, paralysées par la peur ou subissant une domination, ne peuvent résister.
Les abus de pouvoir, les situations de précarité ou les rapports de domination qui réduisent les victimes au silence.
🔹 Aurore Bergé sur l’introduction du consentement dans le droit français :
« J’y suis extrêmement favorable. Cela permettra de mieux caractériser le viol, de mieux le définir, et d’éduquer nos enfants sur le respect du consentement.Qu’il s’agisse d’un partenaire pour un soir, pour un quart d’heure ou pour la vie, il est essentiel de s’assurer que le consentement est donné de manière libre et éclairée.
C’est un signal fort, adressé à celles qui ont été victimes et à celles que nous devons protéger. »
📣 Une législation modernisée pour mieux protéger les victimes et prévenir les violences
Cette initiative marque une étape décisive dans l’évolution des droits des femmes, en posant les bases d’une société où le consentement est enfin reconnu comme une valeur fondamentale et inaliénable.
📡 Pour écouter l'intégralité de l'émission hashtag#LaforcedelEngagement
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