L’INDÉPENDANCE ÉCONOMIQUE, CONDITION DE LA LIBERTÉ

Il y a 60 ans, une femme ne pouvait ni travailler, ni ouvrir un compte bancaire sans l’autorisation de son mari.

C’était en 1965. Ce n’est pas si loin. C’est la mémoire vive de nos mères, de nos grand-mères.

Alors osons dire les choses clairement :

L’argent reste encore, pour beaucoup de femmes, un territoire sous contrôle.

Et aujourd’hui encore, l’autonomie économique des femmes reste fragile, entravée, parfois même volontairement empêchée.

Une femme sur quatre est victime de violences économiques.

🔹 1 femme sur 4 est victime de violences économiques.

🔹 32 % des femmes en couple n’ont aucun revenu personnel.

🔹 23 % n’ont pas de compte bancaire à leur nom.

🔹 10 % se voient interdire l’accès à leurs propres finances.

Tant qu’une femme dépend de son conjoint pour vivre, payer son loyer, élever ses enfants, ou survivre en cas de séparation, elle est sous contrôle.

Même sans violence physique. Et tant qu’elle est privée d’autonomie financière, elle est piégée.

Chez FEMMES AVEC...…, nous agissons depuis 8 ans pour redonner aux femmes ce pouvoir-là :

🔹 Juridique,

🔹 Psychologique,

🔹 Professionnel.

Parce que nous savons que l’indépendance économique, ce n’est pas un luxe. Un droit qui doit s’accompagner d’un changement plus profond :

celui de pouvoir parler d’argent librement, sans honte ni tabou.

Car parler d’argent, c’est aussi parler de liberté.

• Oser dire combien je vaux.

• Oser demander.

• Oser refuser la dépendance.

• Oser préparer l’avenir.

A  Lille, avec AGIPI et une nouvelle génération d’entrepreneur·e·s engagé·e·s, nous avons parlé de ce pouvoir fondamental qui est l’accès à ses propres ressources.

Parce que sans indépendance économique, il n’y a pas de vraie liberté.

hashtag#FemmesQuiComptent, ce n’est pas qu’un slogan.

C’est une exigence. Un appel à l’action. Et un rappel simple : en redonnant aux femmes leur autonomie économique, on ne change pas seulement des destins individuels.

On change les équilibres. On change les rapports de force.

Et c’est là que la vraie transformation commence.