top of page
Rechercher

S’ENGAGER CONTRE LA PROSTITUTION DES MINEURS


S’engager contre la prostitution des mineurs

En France, la prostitution des mineurs est strictement interdite. Tout enfant engagé dans cette pratique, même occasionnelle, est considéré comme en danger et relève de la protection du juge des enfants. Pourtant, les associations estiment qu’entre 15 000 et 20 000 mineurs se prostituent, un chiffre alarmant, en augmentation de 70 % en 5 ans.



🔺 Un profil commun et une réalité troublante


  • Ce fléau touche principalement des jeunes filles âgées de 15 à 17 ans, souvent initiées à la prostitution entre 13 et 15 ans.

  • Ces mineurs, qu’ils soient filles ou garçons, partagent fréquemment un passé marqué par des violences, des ruptures familiales ou des échecs scolaires.

🔺 L’impact des réseaux sociaux : un terrain à haut risque


L’explosion des réseaux sociaux a profondément transformé la prostitution des mineurs, en élargissant considérablement les risques.

  • Dans cet univers numérique, où les jeunes communiquent, jouent et se socialisent, les comportements à risque sont banalisés.

  • Beaucoup sous-estiment leur vulnérabilité face aux prédateurs ou aux réseaux organisés.


🔺 L’exposition précoce à la pornographie : un facteur aggravant


Les statistiques sont préoccupantes :

➡️ À 12 ans, près d’1 enfant sur 3 a déjà été exposé à des contenus pornographiques.

➡️ 62 % des jeunes découvrent la pornographie avant d’entrer au lycée.

➡️ 82 % des mineurs y ont été exposés au moins une fois.

➡️ 44 % des jeunes ayant une expérience sexuelle rapportent avoir tenté de reproduire des scènes vues dans ces contenus.


Avec 2 enfants sur 3 âgés de moins de 12 ans possédant un smartphone, les dangers sont omniprésents. Pourtant, de nombreux parents croient encore leurs enfants en sécurité.


🔴 Une urgence collective : agir pour protéger nos jeunes


  • Initier des conversations ouvertes sur les dangers des interactions en ligne.

  • Mettre en place des contrôles parentaux stricts sur les appareils numériques.

  • Surveiller l’utilisation des réseaux sociaux et sensibiliser les jeunes aux risques qu’ils encourent.



Protéger les mineurs face à ces dangers est une responsabilité partagée, qui demande une vigilance accrue et une action immédiate.

1 vue0 commentaire

Posts récents

Voir tout

Comments


bottom of page